Pour passer l’été, nous proposons ce petit conte, paru dans le journal satirique Le Philosophe dans son numéro du 23 octobre 1867. Il est signé par un certain A. Brun, auteur dont nous ne savons rien. S’il relate une histoire qui se serait déroulée rue Beautreillis, on ne trouve nulle part ailleurs trace de ce charmant récit. Il semble bien être sorti tout droit de l’imagination de son auteur, mais il dresse aussi, à sa façon, le tableau d’une sociabilité disparue. C’est avec plaisir que nous proposons cet intermède.





A ce mystère de la rue Beautreillis, je donne ma langue …au chat.
Publié malicieusement le 15 août (à la mi-août 🐱) cette histoire trouvera sa suite au
« Dindon en laisse ».En effet le chat de ce café restaurant semble en savoir long sur
cette affaire…à suivre ?
J’aimeJ’aime