
Retiré des affaires en 1854, François Frémy avait confié la succession de sa fabrique de papier de verre de la rue Beautreillis à son gendre, Charlemagne Dumas. Il conservait néanmoins la propriété de l’immeuble, acquis en 1851, où depuis 1814 s’était développée l’entreprise fondée par son père. Pour que celle-ci poursuive son activité, il avait alors concédé à Dumas un bail de « 15 ans 3 mois » pour l’ensemble du bâtiment contre un loyer annuel de 4800 francs[1] . Mais, nous l’avons vu, le vieil hôtel du XVIIe siècle convenait de moins en moins à une production en augmentation qui se mécanisait et à un personnel sans doute de plus en plus nombreux. En 1860, les ateliers de la fabrique commencèrent à être transférés dans une nouvelle manufacture, à Ivry-sur-Seine, l’entreprise Frémy conservant rue Beautreillis son siège social, où étaient convoquées les assemblées générales de ses actionnaires, ainsi qu’un dépôt de vente[2].
Reconstruction.
Dumas sous-loua à d’autres entrepreneurs, et notamment à des artisans du bois, les ateliers et entrepôts de l’immeuble anciennement occupés par la fabrique de papier de verre.

Ainsi en 1862, un doreur sur bois, Tampier, et l’année suivante un ébéniste, B. Gros, se partagèrent la plus grande partie des espaces à louer, chacun contre un loyer de 1600 francs. Les ateliers de Gros occupaient ainsi « le 2e et le 3e étage, et plusieurs pièces au rez-de-chaussée au fond de la cour »[3].

L’ébéniste quitta les lieux en 1867, et Tampier en 1871[4], année qui verra l’ancien hôtel, sous l’impulsion des héritiers de Frémy, subir de gros travaux de rénovation et prendre une nouvelle physionomie.
A la mort de François Frémy, le 7 janvier 1865, la propriété du 23 rue Beautreillis revint à sa seconde fille, Bathilde-Caroline. Celle-ci avait épousé en septembre 1854 Pierre-Léopold Brot[5]. Né en 1828, il était le fils d’un entrepreneur en miroiterie, François-Philibert Brot (1796-1878) dont le parcours présentait bien des similitudes avec celui de François Frémy. D’abord employé à la Manufacture des glaces, sise rue de Reuilly, il ouvrit en 1826[6] sa propre miroiterie d’abord 3 rue Grande-Reuilly[7], puis dès le début des années 1830 rue du Caire, avant de l’installer 89 rue du faubourg Saint-Denis en 1861[8]. En 1854, au moment du mariage de son fils Pierre-Léopold, sans doute pour consolider sa position, François-Philibert Brot l’associa à son affaire en créant avec lui une société en nom collectif, Brot père et fils[9]. Et à l’instar de la maison Frémy, la miroiterie Brot connut à partir du milieu du siècle un développement considérable et une grande renommée dans sa spécialité[10].

Mais en attendant de succéder à son père, Pierre-Léopold Brot entendait bien faire fructifier le bien apporté par son épouse. Tout laisse supposer que l’immeuble dont ils prirent possession en 1865 était en piètre état. Les agents du cadastre le signalait en « mauvais état » dès 1852[11]. Un demi-siècle d’activités artisanales et industrielles avait sans nul doute fortement transformé les lieux et dégradé le bâti et l’agencement de l’ancien hôtel aristocratique. Aussi Brot décida-t-il en 1869-1870 de procéder à de grands travaux de reconstruction et de rénovation.
La principale et la plus visible des modifications fut la reconstruction du corps de bâtiment sur rue et de sa façade. L’ancien corps de logis, « élevé sur caves d’un rez-de-chaussée, d’un étage carré et d’un deuxième lambrissé » et percé d’une porte cochère et d’une porte simple, fut remplacé par un bâtiment de cinq étages carrés, doubles en profondeur. Six croisées éclairaient chaque niveau, et la porte cochère était excentrée à l’extrémité gauche de la nouvelle façade bâtie en pierre de taille. Le reste de l’ancien hôtel, conservé, fut remanié. Le corps de logis principal sur cour fut surélevé, avec l’ajout d’un cinquième étage mansardé aux quatre étages existants. Une aile à droite de la cour reliait toujours le corps de bâtiment sur rue et celui sur cour, et sur la façade arrière de ce dernier était accolé un troisième corps de bâtiment de trois étages carrés et d’un quatrième sous combles[12].
Une modification majeure intervint aussi dans l’alignement de la nouvelle façade. En effet, pour se conformer à l’ordonnance royale du 10 mars 1836 qui portait la largeur de la rue Beautreillis à 10 mètres, toute nouvelle construction ou reconstruction après démolition d’un immeuble devait respecter l’alignement prescrit par l’administration, et donc placer sa façade en retrait, sur la ligne de servitude déterminant la nouvelle limite de l’espace public[13]. Léopold Brot dût ainsi concéder à l’administration 31,62 m² du terrain de sa propriété, et son épouse, avec qui il était marié sous le régime de la communauté, obtint en contrepartie 6314 francs de dédommagement[14].
Pilules et granules.
Si, comme nous allons le voir, l’immeuble remanié du 23 rue Beautreillis conservait des espaces dédiés aux activités industrielles et commerciales dans sa partie ancienne et au rez-de-chaussée du nouveau corps de bâtiment sur rue, les étages comprenaient des logements que Léopold Brot mettait en location. Les loyers de ceux occupant le nouveau bâtiment devaient se situer en rapport avec la qualité de la construction nouvelle. On trouve trace parmi les locataires, pour les années 1871 et 1872, d’un vétérinaire, Decroix, membre de l’ordre de la Légion d’honneur, et d’un professeur du lycée Charlemagne nommé Cortie[15]. En octobre 1873, Florant, boucher habitant l’immeuble, convolait en justes noces avec une mademoiselle Petit, vivant elle aussi rue Beautreillis[16]. En décembre de la même année, c’est M. Galien, propriétaire vivant au n° 23 qui épousait une demoiselle Mangenatin, de la rue Picpus[17]. En 1875 vivait au 23 un négociant en huiles et savons, Auguste Bonnet fils[18], mais on ignore s’il logeait seulement dans les lieux ou s’il y exerçait son activité. Plusieurs dizaines d’années plus tard, en 1923, une couturière, prénommé Henriette, y confectionnait, sans doute à son domicile, ses « robes et manteaux d’après-midi et du soir grand chic » [19].

Les espaces de l’immeuble dédiés aux activités commerciales et manufacturières abritèrent entre 1878 et 1898 l’atelier d’un ébéniste, Durant, et entre 1885 et 1904 celui d’un fabricant d’encaustique, Charuel, qui, grâce aux publicités passées dans les journaux et par le biais de ses représentants, vendait ses cires dans tout le pays. On recense aussi un bijoutier à façon, Philippar, qui vécut et travailla dans l’immeuble en 1887 et 1888, année où il mourut à 71 ans[20] . Mais l’immeuble, au cours de ce dernier quart du XIXe siècle, devint rapidement et principalement l’adresse de commerces et de fabriques de produits chimiques et pharmaceutiques.

En 1872 ou 1873, la société de Charles Gérin s’installa dans l’immeuble. Son activité était « l’achat et la vente ferme et à la commission de toutes marchandises et spécialement de droguerie »[21]. On trouvait chez ce grossiste de l’huile de foie de morue, de l’huile de ricin, de la gomme, mais aussi quelques préparations pharmaceutiques[22]. A la mort de Charles Gérin, fin 1888[22], sa veuve, Eugénie-Marie-Nathalie Dion[23], puis ses fils[24] s’associèrent avec Léon-Edouard Maussey en 1889 pour poursuivre les activités de la société sous la raison sociale Veuve Gérin et Maussey, puis Gérin, Maussey et Cie. Les affaires ne devaient pas être florissantes car la société fut dissoute en avril 1892, Maussey étant chargé de la liquidation « avec les pouvoirs les plus étendus »[25].
A côté de Gérin et de ses successeurs, la société d’un autre négociant en produits pharmaceutiques, Gustave Mathey, occupa des locaux dans l’immeuble à partir de 1880. Quelques années auparavant, Mathey avait déjà monté une « société d’exploitation de produits pharmaceutiques », rue Racine. Il s’en était désengagé en 1878[26]. Rue Beautreillis, Mathey s’associa d’abord avec un nommé Lebel jusqu’en 1886, puis un nommé Vincent avant de quitter les lieux [27] et de dissoudre sa société[28] pour en revendre les actifs en 1888 à Arthur Souligoux. Ce dernier monta à son tour avec des associés une société en nom collectif, Souligoux et Cie, dont l’activité était la « fabrication et vente en gros de produits chimiques et pharmaceutiques »[29]. Ce Souligoux fut par ailleurs impliqué dans les années 1888 -1898 dans le fameux scandale du canal de Panama. Accusé d’avoir été l’un des corrupteurs de députés, il fut recherché par la police en 1895 et le « dépôt de spécialités et de produits pharmaceutiques » qu’il avait occupé auparavant au 23 rue Beautreillis, et qu’il avait vendu en 1890, fut perquisitionné en vain[30].

Voisinant avec cette société qui passait de main en main, des pharmaciens qualifiés s’installèrent aussi dans l’immeuble au cours de ces années-là, développant et faisant le négoce de leurs propres préparations pharmaceutiques, comme l’avait fait leur confrère Laroze, installé au 2 rue Beautreillis. Citons Mingaud, pharmacien de 1ère classe, qui fabriquait et vendait l’élixir et les pastilles Mingaud, remèdes contre l’influenza, nom donné alors à la grippe. Il transporta par la suite son activité 5 rue des Haudriettes[31].

Acquéreurs de la société de Soulignoux en 1891, L. Rozet et son associé Bouniol vendirent à leur tour en 1895 « leur usine de fabrication de produits pharmaceutiques conditionnés au nom du pharmacien et avec la marque de ladite usine […], ainsi que la fabrication des pastilles, dragées, pilules, granules et produits analogues » à Adophe Goy et Alfred Otto Jaeger[32]. Jaeger, un pharmacien de Mulhouse, se retira de l’affaire en 1901. Adolphe Goy, puis la société qu’il avait créée, occupa rapidement l’intégralité de l’immeuble à partir du début du XXe siècle, et cela jusqu’en 1965. Goy était lui aussi pharmacien de profession et avait auparavant tenu une officine en Seine-et-Oise, puis au 4 faubourg Poissonnière. Mais dépassé par le développement de son affaire dont la valeur du fonds de commerce avait triplé et les stocks doublés en cinq ans[33], il fut obligé de changer ses statuts en société anonyme en 1905 et de laisser la direction à un conseil d’administration[34]. L’activité déclarée de la Société des établissements Goy était « l’achat, la fabrication, la consignation, la commission, l’exportation, et, en général, l’exploitation de tous les produits chimiques, de droguerie, d’herboristerie, de parfumerie, d’alimentation, de confiserie, etc…, et toutes préparations et spécialités se rapportant à ces diverses branches »[35]. Même après la construction en 1907 d’une nouvelle usine à Bagnolet, l’immeuble de la rue Beautreillis, siège social de la nouvelle société Goy, resta un lieu de fabrication de produits pharmaceutiques[36].
Les illustrations ci-dessous sont tirées d’un Catalogue des Établissements Goy, non daté mais paru avant la Première Guerre mondiale.





Janvier 1901 (Bib. num. Medica).
Les images suivantes, cartes postales aujourd’hui encore disponibles sur les sites de vente spécialisés, illustrent l’activité des ateliers des Établissement Goy dans leur immeuble rue Beautreillis dans les années 1930.




Ouvertures
Le 23 rue Beautreillis, propriété de Léopold Brot, fut vendu en 1889 à une veuve de Reims, Louise Auger, née Lelarge, au prix de 385 000 francs. Le développement des miroiteries Brot, auxquelles Brot avait associé son fils, Charles-Georges-François[37], avait peut-être nécessité la recherche de capitaux. Mais par un arrangement sans doute convenu au moment de la vente, Léopold Brot prit à bail l’ensemble de l’immeuble contre un loyer annuel de 23 872 francs pour sous-louer, avec bénéfice, logements, bureaux et ateliers[38].
En 1914, l’immeuble voisin situé au n° 21 fut démoli pour laisser place à l’ouverture de la nouvelle voie qui, dans le prolongement de l’ancien passage Saint-Pierre, devait relier la rue Saint-Paul à la rue Beautreillis. Sa disparition dégagea les murs pignons des constructions qui l’encadraient, d’un côté ceux de différents corps de bâtiment composant la propriété du n° 23, de l’autre côté, celui de l’immeuble post-haussmannien situé au n° 19. Ce dernier est depuis resté en l’état et révèle encore aujourd’hui poutres sciées et empreintes des anciens planchers.
Mais du côté du n° 23, Mme Auger entendait bien profiter de l’ouverture de la rue Neuve-Saint-Pierre et de la transformation de sa propriété en un immeuble d’angle ouvert sur deux axes de circulation. Toutefois, pour pouvoir percer portes et fenêtres sur cette nouvelle façade, longue de 40,75 mètres, lui fallait-il solliciter « la cession par la Ville de Paris de ses droits de co-propriété sur le mur pignon » dégagé par la démolition de l’immeuble du numéro 21. En effet, la demi-épaisseur extérieure du mur mitoyen subsistant appartenant à la Ville ne donnait à la propriété de Mme Auger « aucun droit de jour et d’accès » à la nouvelle voie[39].

La commission supérieure de voirie de la Ville de Paris ne fit pas de difficulté pour céder à Mme Auger, moyennant la somme de 16 000 francs, « la bande de terrain séparant sa propriété de la voie publique (voie Nouvelle, prolongement du passage Saint-Pierre) et formant la demi-épaisseur du mur mitoyen […], ainsi que des droits de co-propriété de la Ville sur les matériaux de construction dudit mur, étant entendu que Mme veuve Auger, lors de la démolition de ses constructions, abandonnera gratuitement à la Ville la parcelle de 5,06 m² nécessaire à la formation d’un pan coupé de 5 mètres, à l’angle de la rue Beautreillis » et de la future rue Neuve-Saint-Pierre. A cela s’ajoutaient les frais de « la viabilité déjà exécutées ou restant encore à exécuter (chaussées, trottoirs, égout public et appareils d’éclairage au droit du terrain cédé »[40].

Les travaux pour établir un pan coupé à l’angle des rues Beautreillis et Neuve-Saint-Pierre, opération qui aurait nécessité la démolition de l’extrémité gauche du corps de bâtiment élevé sur rue en 1870, ne furent jamais réalisés. Cependant, portes et fenêtres furent vite percées sur les anciens pignons. Nous pouvons supposer que l’aménagement des bâtiments et la physionomie de la façade sur la rue Neuve-Saint-Pierre ont évolué au cours du XXe siècle pour aboutir à l’état actuel, marqué par un fort contraste avec la façade donnant sur la rue Beautreillis. On note ainsi en 1954 une demande de travaux déposée par les Établissements Goy pour une « surélévation de trois étages sur rez-de-chaussée et de deux étages sur deux étages existants pour dépôt »[41], mais il est difficile de placer ces transformations sur un bâti déjà bien modifié en moins d’un siècle.

Les Établissements Goy, rachetés par un autre laboratoire, quittèrent la rue Beautreillis en 1965. L’immeuble du 23, qui serait devenu auparavant la propriété de l’entreprise pharmaceutique, fut alors vendu[42]. Comme tant d’autres vieilles maisons et anciens hôtels du quartier et du Marais transformés en ateliers et usines entre le XIXe siècle et la première moitié du XXe siècle, il perdit alors sa vocation industrielle. Il abrite depuis la fin des années soixante services et activités tertiaires.

(Fin)
____________________________________
[1] Archives de Paris, DQ18 267, Sommier foncier 23 rue Beautreillis.
[2] La maison Frémy, devenue Compagnie centrale des émeris et produits à polir, conserva un bureau 23 rue Beautreillis jusqu’en 1903 (d’après Annuaire-almanach du commerce, de l’industrie, de la magistrature et de d’administration…, Paris, Firmin-Didot, années correspondantes) et resta sans doute jusqu’à cette date le siège social de l’entreprise. On trouve des annonces convoquant des assemblées des actionnaires au 23 rue Beautreillis (par exemple dans L’Echo des mines et de la métallurgie, 17 novembre 1895, ou dans le Journal des mines, 8 janvier 1899). Le départ de l’entreprise de la rue Beautreillis coïncida avec la construction et l’ouverture de la nouvelle usine de la Compagnie centrale des émeris et produits à polir, « anciens établissements Frémy-Navarre, Émeris de l’Ouest, Château, Suriray », 133-135 boulevard Serrurier.
[3] Archives de Paris, DQ18 267.
[4] D’après Annuaire-almanach du commerce, de l’industrie, de la magistrature et de d’administration…, Paris, Firmin-Didot, années correspondantes.
[5] Archives de Paris, 3589W 170, Casier sanitaire rue Beautreillis.
[6] D’après le site des Miroirs Brot.
[7] Almanach du commerce de Paris …, par Duverneuil, J. La Tynna, S. Bottin, Paris, année 1829.
[8] Almanach du commerce de Paris …, op. cit., années 1833-1838, Annuaire général du commerce, de l’industrie, de la magistrature…, Paris, Firmin-Didot frères, années 1838-1856, Annuaire-almanach du commerce, de l’industrie, de la magistrature et de d’administration…, Paris, Firmin-Didot, années 1857-1860.
[9] Le Droit, 20 septembre 1854.
[10] Le fils de Pierre-Léopold et de Bathilde-Caroline Frémy, Charles-Georges-François Brot est particulièrement connu comme le créateur de miroirs concaves et de miroirs à trois faces. On peut noter que non loin de la rue Beautreillis, au n° 15 du boulevard Henri IV, un magasin des miroirs Brot a pendant longtemps occupé une boutique jusqu’il y a quelques mois.
[11] Archives de Paris, D1P4 93, Calepin des propriétés bâties, année 1852.
[12] Archives de Paris, D1P4 93, Calepin des propriétés bâties, année 1852 ; D1P4 94, années 1862 et 1876.
[13] Ville de Paris. Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voix publiques, dressé sous la direction de M. Alphand, Paris, Imprimerie nouvelle, 2 volumes, 1886-1902, tome 1, p. 119.
[14] Archives de Paris, 3589W 170, op. cit. Le paiement de cette indemnité, après de nombreuses réclamations de L. Brot, ne fut acquitté qu’en 1873. On peut penser que la Guerre de 1870 et la Commune ont pu être la cause de ce retard.
[15] Annuaire-almanach du commerce, de l’industrie, de la magistrature et de d’administration…, Paris, Firmin-Didot, années correspondantes.
[16] La Liberté, 7 octobre 1873.
[17] Le Rappel, 25 décembre 1873.
[18] Annuaire-almanach du commerce, de l’industrie, … op. cit.
[19] Annonce parue dans Les Modes de la femme de France, 14 octobre 1923.
[20] Le Siècle, 22 juin 1888.
[21] La Loi, 27 octobre 1889.
[22] Le Siècle, 14 décembre 1888.
[23] Eugénie Gérin mourut en juillet 1889 (Le Siècle, 14 juillet 1889).
[24] La Loi, 27 octobre 1889.
[25] La Loi, 29 mai 1892.
[26] Le Droit, 3 octobre 1872 et 4 juillet 1878.
[27] Annuaire-almanach du commerce, de l’industrie, de la magistrature et de d’administration…, Paris, Firmin-Didot, années correspondantes.
[28] Le Radical, 23 mai 1888.
[29] Le Radical, 19 mai 1888 et La Nation, 5 avril 1889.
[30] Le Radical, 28 novembre 1895.
[31] Nombreuses publicités dans l’ensemble de la presse en 1890 et 1891.
[32] Cité dans Bruno Bonnemain, Henri Bonnemain, Disparition des laboratoires pharmaceutiques en France : le cas des établissements Goy, Revue d’histoire de la pharmacie, 2004, n° 342, p. 352-360, p. 353. https://www.persee.fr/doc/pharm_0035-2349_2004_num_92_342_5662
[33] B. Bonnemain, H. Bonnemain, Disparition des laboratoires pharmaceutiques en France…, op. cit., p. 354.
[34] Adolphe Goy fut remplacé au poste d’administrateur par le docteur Chapelle en septembre 1909 (Cote de la Bourse et de la Banque et le Messager de la Bourse réunis, 21 septembre 1909).
[35] Cote de la Bourse et de la Banque, 9 août 1905.
[36] B. Bonnemain, H. Bonnemain, Disparition des laboratoires pharmaceutiques en France…, op. cit., p. 354.
[37] Le Droit, 10 mai 1883 et 24 décembre 1890, acte portant création et prorogation de la société Léopold Brot et fils.
[38] Archives de Paris, D1P4 94.
[39] Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, 30 juin 1917.
[40] Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, 3 août 1917.
[41] Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, 1er juillet 1954.
[42] Selon Bruno Bonnemain, Henri Bonnemain (1911-2006), une activité incessante pendant plus de 90 ans, Revue d’histoire de la pharmacie, 2006, n° 360, p. 167-178, p. 170. https://www.persee.fr/doc/pharm_0035-2349_2006_num_94_350_5979?q
Toujours passionnant !
Merci !
J’aimeJ’aime